La prison des Mandars

Répression, répression....

L'heure n'est pas à la rigolade et les autorités chevrotines préparent les structures nécessaires pour permettre aux récalcitrants de reprendre le droit chemin: celui des petits ponts.

Et vous n'êtes pas nombreux à les fréquenter en ce moment, les petits ponts . Oui, je sais, il y a eu le ski, la fatigue du ski puis la rentrée, le traintrain, le rer B....

Mais voilà, il faut quand même vous l'avouer : vous vous êtes encore fait avoir. Si,si, si.... Il ne faut pas partir en vacances. Ou alors pas tous en même temps.

Au retour, toujours une nouvelle surprise. Une fois, on vous bouche la pièce d'eau d'un jardin public;  aujourd'hui, on vous ferme le lavoir des Mandars, l'une des fiertés de Chevreuse, l'abri des randonneurs surpris par la pluie, la joie des enfants de pouvoir approcher l'eau et tenter d'attraper un canard.

Il est navant de constater encore une fois la non information, la non consultation, la non concertation. Un parfait résumé des réalisations chevrotines. Ah, obscurantisme, quand tu nous tiens!

Pourquoi : Quelle est la motivation de ce projet de fermeture du lavoir?. Quel est l'intéret public? Quel est l'intérêt pour le public ?

Qui : Qui a décidé? Quelle concertation il y a t-il eue?. L'association Mémoire de Chevreuse, surprise à la projection de cette photo lors de leur réunion mensuelle ce premier vendredi du mois, n'a visiblement pas été consultée.

Quand: pendant les moments calmes de Chevreuse où le chevrotin est loin,

Comment: Quelle commission a traité ce dossier? Quel projet a été soumis en conseil municipal?

Combien:  Quel est le coût? Quelle ligne budgétaire était prévue pour ces travaux?

Il serait temps que Chevreuse arrête sa politique "Far west". Que le shérif local assume le rôle de fédérateur qu'un maire doit avoir. Qu'il donne l'envie, la parole, la connaissance, la possibilité de réflexions et de décisions à ses conseillers et aux associations locales.

.                Le Blog de Chevreuse - Jour de la Saint Casimir

.  A la Saint Casimir, ne les laisse plus dire et rejoint la place Tahrir